Chapitre 15 du livre consacré aux aspects juridiques et réparation du préjudice chez les traumatisés crâniens légers et modérés.
Extrait : « Il n’est pas forcement visible que le blessé souffre d’un ralentissement du traitement de l’information, de troubles de l’attention soutenue, de troubles mnésiques affectant la mémoire de travail. Le bilan neuropsychologique peut en rendre compte à condition encore qu’il soit décidé comme un des outils de l’expertise, et qu’il soit adapté.
La première étape de la reconnaissance des traumatisés crâniens légers et modérés passe donc forcément par le constat situationnel de leurs difficultés avant de remonter aux causes possibles de celles-ci : c’est cette inversion chronologique qui permettrait dès à présent un meilleur processus expertal. »
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